Marcos Meloni n’est pas près d’oublier ce jour de la fin août où il combattait les flammes menaçant de consumer son exploitation de canne à sucre, dans le sud-est du Brésil.
"Quand nous étions en train de lutter contre l’incendie, le rétroviseur du camion-citerne à eau s’est ratatiné" sous l’effet de l’intense chaleur, raconte à l’AFP cet agriculteur vivant à Barrinha, à 340 kilomètres de Sao Paulo, au cœur d’une importante zone de production.
"J’ai cru que j’allais y rester", lâche-t-il.