« Nous sommes bien conscients des difficultés grandissantes que beaucoup rencontrent pour joindre les deux bouts, de la colère face aux inégalités, du manque d’engagement et de la peur de l’avenir. Mais en tant que sportives et sportifs professionnels, entraîneurs et décideurs, nous ne pouvons nous résigner à voir l’extrême droite prendre le pouvoir dans notre pays », écrivent-ils.