« Je vais au commissariat environ une fois par mois. C’est très facile pour la filière de porter plainte : c’est gratuit et ils savent qu’ils sont plus nombreux. D’une certaine manière, cela nous épuise et nous empêche de faire notre travail. »
Cet article « Coupes rases : on ne se taira pas » : l’association Canopée visée par des procédures-bâillons est apparu en premier sur La Relève et La Peste.
Read more