Javier Milei fait l’objet en France d’un intérêt tantôt amusé tantôt réprobateur, toujours paternaliste. La radicalité des mesures de son gouvernement n’est analysée que comme une forme excentrique d’ultra-libéralisme. Or ses attaques contre la presse, les droits humains, l’IVG, la recherche et la culture ne laissent aucun doute sur la nature du régime qui s’installe. En fait d’« anarcho-capitalisme », il s’agit bel et bien de mettre en place un État autoritaire garantissant le pillage néo-libéral voulu par ses soutiens.
L’article En Argentine, un pouvoir d’extrême droite est apparu en premier sur AOC media - Analyse Opinion Critique.