Disponible jusqu’au 20/01/2028
En deux ans, la guerre opposant l’armée régulière aux forces rebelles du général Hemetti, les Forces de Soutien Rapide, a donné un coup d’arrêt à la révolution démocratique de 2019 au Soudan. L’armée soudanaise, soutenue par les milices islamistes proches de l’ancien dictateur Omar El-Bachir, a repris en main les quartiers nord de Khartoum. Khartoum est aujourd’hui une ville exsangue. La guerre a tué plus de 150 000 civils, déplacé plus de 14 millions personnes dont 3 millions ont fui dans les pays voisins. La famine et les maladies sévissent… Au Soudan se déroule ce qui est désormais considéré comme la plus grande crise humanitaire mondiale.
Pour grossir les rangs des combattants, les forces gouvernementales en appellent plus que jamais à la mobilisation populaire. Des dizaines de milliers de jeunes, souvent des militants pro-démocratie, hier opposés au régime d’Omar Al-Bachir, se résignent à prendre les armes.
Sara Creta a obtenu l’autorisation de se rendre à Khartoum dans les quartiers contrôlés d’une main de fer par l’armée régulière. Elle nous livre un reportage inédit et documente les soubresauts de ce conflit sans issue, aux côtés des femmes. De celles qui soutiennent l’armée, désormais noyautée par les islamistes, très actives dans le recrutement de nouveaux soldats, à celles qui résistent encore, au sein des comités révolutionnaires, dans les hôpitaux ou les « emergency room ».
Les femmes avaient joué un rôle de premier plan dans le soulèvement populaire contre le régime islamiste d’Omar Al-Bachir en 2019. Aujourd’hui, elles refusent de baisser les bras, même si leurs espoirs d’égalité politique et de protection semblent n’être plus qu’un lointain mirage. #soudan #reportage #arte
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Documentaire disponible jusqu’au 31/10/2025
Pendant et après la Seconde Guerre mondiale, des centaines de milliers de mineurs, séparés de leurs parents, ont été ballottés de centres d’accueil en orphelinats. Cette situation a contribué à faire émerger une notion nouvelle : le meilleur intérêt de l’enfant. Le 7 septembre 1949, un groupe de 123 orphelins de guerre polonais débarque au Canada dans le port d’Halifax. Pour eux, c’est la fin d’un éprouvant périple : ils ont été déportés en Sibérie après la mise sous tutelle par l’URSS des États baltes, où ils avaient trouvé refuge avant le pacte germano-soviétique, puis ont traversé l’Asie centrale avant d’être accueillis en Afrique dans le camp de Tengeru, au Tanganyika – l’actuelle Tanzanie. Comme eux, ce sont des centaines de milliers de mineurs européens que le second conflit mondial a privés de leur foyer et de leur pays natal. Certains ont été séparés de leurs parents en fuyant l’avancée des troupes ennemies, d’autres les ont perdus dans un bombardement ou après une arrestation. D’autres encore se sont retrouvés seuls après avoir été déportés avec eux dans un camp de concentration. Quelques-uns aussi sont nés dans les "Lebensborn" nazis (des maternités à visée eugéniste), tandis que certains, livrés à eux-mêmes à la fin du conflit, ont erré en bande dans des villes en ruines…
D’enjeu humanitaire à symbole politique
Suivant en fil rouge l’histoire de la centaine d’orphelins polonais – dont les parents disparus avaient combattu dans l’armée Anders en exil – qui furent ballottés de pays en pays pendant près d’une décennie, ce documentaire tout en archives ouvre la focale sur la multiplicité des situations des centaines de milliers de mineurs arrachés à leur famille par la guerre. Des orphelins dont le sort s’est décidé au gré des réalités et des jeux d’influence de l’après-guerre : modification du tracé des frontières, politiques d’accueil contrastées des pays, action des organisations internationales publiques et privées et affrontement idéologique entre puissances ont transformé l’impératif humanitaire de leur prise en charge en enjeu politique. Leur situation dramatique a eu pour conséquence une évolution des mentalités et des règles de protection de l’enfance. Alors que les mineurs étaient auparavant considérés comme appartenant à leur patrie et à leurs parents, une notion nouvelle se dessine après 1945 : celle du meilleur intérêt de l’enfant. Très vite pourtant, les nations vont instrumentaliser le sort des orphelins de guerre à la faveur des tensions et des luttes idéologiques nées sur les cendres du conflit. Une posture qui perdure, comme l’ont montré dernièrement les déportations d’enfants pratiquées par la Russie de Poutine en Ukraine. Documentaire de Deborah Ford (France, 2024, 1h32mn)
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Disponible jusqu’au 19/03/2026
Toutes les personnes nées en Suisse n’ont pas les mêmes droits. C’est en effet le principe de filiation, la loi du sang, qui s’applique dans ce pays. Quiconque n’a pas d’ancêtres suisses doit ainsi demander la citoyenneté. Et nulle part ailleurs en Europe, la naturalisation n’est aussi difficile qu’ici. Les difficultés d’obtention de la citoyenneté suisse s’expliquent notamment par le système fédéral, dans lequel les municipalités ont beaucoup de pouvoir - ce qui favorise l’arbitraire et les critères subjectifs dans le processus de naturalisation.
En Suisse, 26% de la population sont privés de leurs droits civiques. Artina Ahmeti est née et a grandi en Suisse. Elle a demandé à deux reprises la nationalité suisse - en vain. Sa demande a été rejetée par un conseil citoyen en raison d’un "manque d’intégration". L’"Initiative démocratie" veut éliminer les obstacles et moderniser les droits civiques. Elle collecte des signatures pour un référendum. Son coprésident, Arber Bullakaj, a lui-même été naturalisé alors qu’il était adolescent. Dans le canton rural et conservateur de Bâle, Jürg Feigenwinter est membre de l’assemblée citoyenne locale et responsable des naturalisations. Il a des idées très arrêtées sur les conditions nécessaires à la naturalisation. Reportage (France, 2025, 31mn)
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Documentaire disponible jusqu’au 30/11/2025
Soul Kids est une odyssée musicale à travers l’histoire et les préoccupations d’une nouvelle génération.
À Memphis, la Stax Music Academy est une oasis. Fondée en 2000, l’académie perpétue l’héritage de Stax Records, le légendaire label de musique soul des années 60. En apprenant et en comprenant la musique soul dans le cadre de programmes extrascolaires, les adolescents s’imprègnent de l’héritage des Noirs américains et s’ouvrent à de nouvelles perspectives d’avenir. Un documentaire de Hugo Sobelman (France, 2021, 76mn)
#memphis #soulmusic #documentaire
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Disponible jusqu’au 08/03/2028
Il y a plus de dix ans, pendant le printemps arabe, j’ai accompagné la famille Kasmouss et ses quatre enfants dans leur ville natale d’Alep, puis dans leur exil vers l’Allemagne. Aujourd’hui, une décennie plus tard, la famille vit toujours en Allemagne. Les plus jeunes sœurs, Sarah et Farah, sont sur le point de terminer leur scolarité. Helen a récemment achevé sa formation d’employée d’hôtel et Mohammad, le fils, est cuisinier.Leur père, Ahmad, a été enlevé par l’État islamique peu avant leur fuite de Syrie. Depuis des années, la famille cherche un signe de vie - mais sans succès.
#syrie #reportage #arte Abonnez-vous à la chaîne ARTE https://www.youtube.com/channel/UCwI-JbGNsojunnHbFAc0M4Q/?sub_confirmation=1
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Rediffusion disponible jusqu’au 30/09/2026
Les jeux de hasard en ligne représentent un marché à plusieurs milliards d’euros. La mafia y blanchit des millions, tandis que des personnes dépendantes y jouent leur vie. En 2021, l’Allemagne a décidé de créer une autorité de contrôle des jeux d’argent. L’objectif : encadrer les dérives du marché, tout en protégeant les joueurs. Cela peut-il fonctionner, ou est-ce que l’Etat allemand cherche simplement à engranger de gros bénéfices ? Chaque jour dans le monde, 300 millions d’euros sont misés dans des jeux d’argent en ligne. Il suffit d’un ordinateur ou d’un smartphone pour espérer toucher le jackpot. Si les casinos en pierre résistent - en France notamment -, les "bandits manchots" ont migré vers Internet et les plates-formes des réseaux sociaux : sur Youtube ou Twitch, les machines à sous virtuelles tournent à plein régime. Faisant bénéficier leur communauté de recommandations, des streameurs stars touchent leur pourcentage sur les connexions, tout comme les émetteurs de cartes bancaires, les banques ou les publicitaires, qui encaissent leur part sur toutes les transactions. À Malte, où sont implantés la plupart des sites - plus de 300 sociétés enregistrées -, cette nouvelle industrie représente aujourd’hui 12 % du PIB de l’ancienne colonie britannique. Elle constitue aussi une manne pour les organisations mafieuses, notamment siciliennes, qui trouvent dans les montages de ces sociétés opaques une occasion de générer des revenus sans payer d’impôts et de blanchir les gains de leurs activités criminelles. Pour avoir enquêté sur l’implication de la classe politique de son pays dans le blanchiment d’argent lié aux jeux en ligne, la journaliste maltaise Daphne Caruana Galizia a été assassinée le 16 octobre 2017 dans un attentat à la voiture piégée.
Flux d’argent
Donnant la parole à de nombreux intervenants (journaliste maltais, procureur anti-mafia en Italie, ancien membre du ministère fédéral des Finances allemand, dirigeant d’une société de casino en ligne, streameur, psychologue, joueurs...), ce documentaire embrasse le sujet dans toutes ses dimensions, des mécanismes de l’addiction aux réglementations en vigueur au sein de l’Union européenne, des circuits empruntés par les flux d’argent à la lutte contre la corruption et le crime organisé. Un état des lieux inquiétant d’un secteur en plein essor : ses bénéfices dans les années à venir pourraient dépasser ceux que génère aujourd’hui l’industrie du jeu dans son ensemble - soit plus de 265 milliards de dollars. Documentaire de Detlev Konnerth (Allemagne, 2022, 1h31mn)
#jeux #addiction #arte Abonnez-vous à la chaîne ARTE https://www.youtube.com/channel/UCwI-JbGNsojunnHbFAc0M4Q/?sub_confirmation=1
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Disponible jusqu’au 18/03/2026
Le projet de liaison ferroviaire entre Lyon et Turin fait toujours débat. Chiffrée à plusieurs milliards d’euros, cette ligne transalpine vise des objectifs ambitieux, notamment en matière de réduction des émissions de CO2. Ses opposants en France comme en Italie pointent toutefois des atteintes environnementales, expropriations et dilapidation de deniers publics. Peut-on encore sortir de l’impasse ? Reportage (Allemagne, 2024, 31mn)
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Disponible jusqu’au 23/02/2026
L’intelligence artificielle compose du Beethoven, clone la voix de la chanteuse Grimes ou encore fait revivre le chantre de l’austropop Hansi Lang. Est-elle un outil créatif formidable ou une source de sons stériles qui polluent nos playlists ? L’IA peut-elle nous faire vibrer ? Benoît Carré, alias Skygge, n’a pas hésité à "fusionner" les Beatles avec l’intelligence artificielle. En 2018, l’auteur-compositeur publiait le premier album jamais produit avec l’aide de l’IA, lui qui, tout petit déjà, rêvait d’être en symbiose avec les machines. Pour sa chanson “Océan Noir“, il harmonise à l’aide de l’IA une fugue de Schubert avec un tambour brésilien et la voix clonée de Grimes pour obtenir un son nouveau.
À Munich, "Twist" rencontre la pianiste Hanni Liang, habituée des grandes scènes classiques du monde entier. Aux côtés d’Ali Nikrang, chercheur dans le domaine de l’IA et compositeur, elle fait appel à l’intelligence artificielle pour créer des musiques dans le style de Debussy ou de Brahms. Fascinée par le potentiel de ces nouveaux outils, elle s’interroge néanmoins sur l’impact de cette technologie qui progresse à une vitesse vertigineuse. Prochainement, elle interprètera sur scène une 33e sonate de Beethoven générée par une IA.
Pour la musicienne américaine Rania Kimn, alias Portrait XO, travailler avec l’IA a été une véritable libération. Pianiste classique de formation, elle s’est tournée vers la musique électronique pour fuir la pression inhérente à la musique savante. Pour elle, l’intelligence artificielle est un outil créatif qu’elle utilise depuis des années au même titre qu’un instrument. Ce qui ne l’empêche pas de défendre les droits d’auteur des artistes.
Le producteur et guitariste viennois Zebo Adam est assez critique face à l’intelligence artificielle. À son sens, la musique est une affaire d’émotions, un domaine où l’IA pèche. Ce qui ne l’a pas empêché de participer à l’enregistrement d’un nouvel album de feu Hansi Lang, dont la voix a été clonée à l’aide d’une IA, ce qui a permis une (re)découverte posthume de l’artiste. Magazine (Allemagne, 2025, 30mn)
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Série documentaire disponible en rediffusion jusqu’au 12/05/2025
Dernier volet de cette exploration fascinante de la décennie qui a fait marcher l’homme sur la Lune. Michael Collins, Buzz Aldrin et Neil Armstrong forment l’équipage d’"Apollo 11", la navette qui se placera en orbite autour de la Lune pour libérer un module habitable chargé de l’alunissage. Le décollage de la navette est retransmis en direct aux États-Unis, au Japon, dans toute l’Europe occidentale et en Amérique du Sud. L’Union soviétique, elle, prépare Lunar 15, une navette inhabitée programmée pour alunir le même jour. Mais seconde après seconde, c’est avec les astronautes américains qu’une partie de la planète, rivée devant le petit écran, vibre à l’unisson. Enfin, le vaisseau se pose et Neil Armstrong, premier homme à marcher sur la Lune, prononce une phrase appelée à devenir mythique… C’est à la fois la concrétisation d’une décennie de course à la Lune, la réalisation d’un miracle scientifique et le glas d’une forme d’exploration spatiale que seuls viendront réveiller les fantasmes de conquête de Mars.
Au travers d’interviews de témoins clés et de sublimes images d’archive, dont certaines inédites, Robert Stone explore l’envers du mythe pour révéler, cinquante ans après, une réalité complexe en partie occultée par la saga officielle de la Nasa et l’histoire des politiques menées à Washington et à Moscou. Dans cette grande fresque documentaire, passionnante de bout en bout, il détaille les rêves, les défis scientifiques et les destins méconnus qui ont forgé cette folle odyssée vers la Lune. Une quête pleine de souffle, dans les pas de grands explorateurs. Série documentaire de Robert Stone (Etats-Unis, 2019, 1h50mn)
#astronomie #documentaire #arte
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Rediffusion disponible jusqu’au 22/04/2025
Chef de guerre et stratège politique impitoyable, l’héritier de Jules César a imposé la paix et apporté la prospérité une fois son pouvoir établi. Ce documentaire brosse le portrait du fondateur de l’Empire romain au travers de reconstitutions et d’analyses d’historiens. À la mort de César, en 44 avant J.-C., son petit-neveu Octavien (le futur Auguste), qui a été adopté à titre posthume, fait face à la concurrence de Marc Antoine, qui brigue la succession du dictateur. Le jeune homme de 19 ans va alors lever une armée et nouer une alliance de circonstance – le second triumvirat – avec son rival Lépide pour éliminer ses adversaires politiques. Après leur victoire militaire contre les partisans des assassins de César, à Philippes en - 42, Octavien profite de l’éloignement de Marc Antoine, qui règne sur la partie orientale du territoire romain depuis l’Égypte, pour renforcer son pouvoir au travers d’un mariage stratégique. Il divorce de Scribonia, lui arrache sa fille qui vient de naître, Julie, puis épouse Livie, une patricienne enceinte de son premier mari. Habile propagandiste, Octavien présente Marc Antoine comme une menace pour les intérêts du peuple romain et lance, en 32 avant notre ère, une attaque contre l’Égypte, poussant au suicide son ennemi et sa femme, la reine Cléopâtre. Désormais seul maître de Rome, Octavien et le Sénat romain parviennent à un accord qui met un terme aux guerres civiles, restaure la République en apparence, mais crée un système politique nouveau : le principat. Auréolé du titre d’Auguste, le fils adoptif de César imposera le droit, la loi et la paix dans tout l’Empire.
Pax Augusta
Mêlant interventions d’historiens et reconstitutions en 3D avec des comédiens, ce documentaire-fiction retrace la destinée d’Octavien, jeune ambitieux sans scrupules qui s’est mué en empereur de la paix. Il éclaire le rôle fondamental joué par la fidèle Livie, devenue le visage féminin de la monarchie naissante, et retrace la guerre de succession, jalonnée de meurtres et de conspirations, qui a opposé les héritiers d’Auguste, mort en 14 de notre ère : d’un côté, Julie et ses trois garçons, de l’autre, Livie et son fils, Tibère, devenu le deuxième empereur de Rome. Documentaire (Allemagne, 2021, 52mn)
#rome #histoire #arte Abonnez-vous à la chaîne ARTE https://www.youtube.com/channel/UCwI-JbGNsojunnHbFAc0M4Q/?sub_confirmation=1
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