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Nous en avons déjà parlé, la fin de la 2G — déployée dans les années 90 — et de la 3G est prévue pour cette décennie, avec une coupure attendue des réseaux entre 2025 et 20291. Si ce n’est pas un énorme problème pour les utilisateurs de téléphones et de smartphones, largement passés à la 4G ces 10 dernières années, le secteur industriel semble bien plus embêté. De nombreux appareils (comme les ascenseurs ou les alarmes) reposent encore sur le réseau 2G, tout comme la transmission des données des compteurs communicants Linky. Et il y a un autre domaine, plus inattendu, qui dépend aussi de la 2G : celui des voitures. Un bouton eCall (Marius Vassnes, CC BY-SA 4.0) Le système eCall, imposé dans les voitures depuis avril 2018 en Europe, repose en effet encore souvent sur les réseaux 2G ou 3G selon La Tribune. Et ce n’est pas un problème lié aux « vieux » véhicules : de nombreuses voitures vendues en 2023 reposent encore sur cette technologie, qui permet d’appeler le numéro d’urgence 112 facilement. Selon nos confrères, une des solutions envisagées par l’Europe pour sauver le soldat eCall serait de tenter de garder un réseau 2G par pays (quitte à réduire le spectre alloué) pour permettre au système eCall de fonctionner. Mais la Commission européenne ne peut pas l’imposer, car le Code européen des communications ne permet pas d’obliger les opérateurs à garder une technologie. Qui plus est, la fermeture des réseaux 2G et 3G a une réelle utilité pratique : elle va permettre de libérer des fréquences pour des technologies bien plus efficaces (la 4G et la 5G). Les opérateurs français sont évidemment officieusement contre, en indiquant que l’utilisation d’eCall reste assez faible : la technologie n’aurait généré que 6 800 appels en France en 2022. Du côté des fabricants de véhicules, c’est le calendrier de l’Union européenne qui est pointé du doigt : les soucis liés à l’utilisation de la 2G avaient été pointés dès le départ, et les fabricants — même s’ils disposent de modules compatibles — ne peuvent pas installer des modèles 4G ou 5G pour le moment, faute de certifications. Dans la pratique, la nouvelle génération d’eCall devrait être déployée à partir de 2025 et imposée entre 2026 et 2027. Mais ce n’est pas une solution miracle, étant donné que le problème risque de se reproduire dans le futur lors des déploiements des réseaux 6G et l’abandon (un jour) des réseaux 4G. L’arrêt des réseaux 2G et 3G pourrait toucher aussi des smartphones 4G, dont l’iPhone 5S
Le dernier point important est évidemment celui des coûts. Maintenir des réseaux 2G et 3G en Europe aurait un coût élevé (de l’ordre de 1 à 1,5 milliard annuel au niveau européen) et le remplacement des 36 millions de modules eCall déjà en circulation — une autre solution possible — serait un cauchemar logistique, sans même prendre en compte le coût des modifications.
En effet, SFR compte couper son réseau 2G en 2026 et son réseau 3G en 2028, Bouygues Telecom attendra fin 2026 pour la 2G et 2029 pour la 3G et Orange compte couper la 2G fin 2025 et la 3G fin 2028. Free Mobile ne donne pas de dates pour la 3G et dépend d’Orange pour la 2G.  ↩︎
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Amazon propose des réductions sur de nombreux bracelets pour Apple Watch. La boucle Sport « Pride » en 45 mm est à 41,7 € au lieu de 49 € et la boucle Sport Elderberry en 41 mm est à 39 €. Le bracelet magnétique en tissage fin est à 84 € au lieu de 99 € en 41 mm (taille M/L) et la version en cuir (un ancien stock) est à 89 € (terre de Sienne, 41 mm, M/L). Si vous aimez les bracelets Sport classiques, le modèle « Pride » en 45 mm est à 41,7 €, tout comme le bleu d’hiver en 41 mm. La boucle moderne est à 126 € en couleur mûre (au lieu de 149 €) dans sa version 41 mm M. Une version forêt (plus ancienne) en 41 mm L est à seulement 81 €. Pour les adeptes de l’Apple Watch Ultra, la boucle Alpine en lumière stellaire (sic) est à 83 € au lieu de 99 € (en L) et la boucle Trail en jaune/beige (S/M) est à 96 € au lieu de 99 €, une petite réduction. Enfin, l’extension pour le bracelet Ocean jaune est à 34 € au lieu de 49 €.
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La marque 8BitDo est connue pour ses accessoires pour les joueurs, avec ses manettes qui mélangent des formats largement inspirés de manettes iconiques avec des technologies modernes comme le Bluetooth. Et la société vient de lancer un clavier qui reprend les couleurs du fameux Commodore 64, un ordinateur des années 80 qui a eu un très large succès. Ce n’est pas une reproduction, mais il a les couleurs attendues. C’est un clavier compact, sans pavé numérique mais avec un bloc de flèches. Il intègre des interrupteurs mécaniques Kailh Box White V2, qui sont dits « clicky » (autrement dit, assez bruyants). D’origine asiatique, ils ont l’avantage d’être compatibles avec les interrupteurs Cherry, très courants. Le clavier est complet techniquement : il propose du Bluetooth, une connexion sans fil dans la bande des 2,4 GHz avec un récepteur dédié (qui se range dans le clavier) et une prise USB-C qui permet la recharge de la batterie mais aussi un fonctionnement en filaire. Dans les petits ajouts pratiques, une molette rotative permet de choisir le mode de fonctionnement et une seconde de régler le volume. Il est par ailleurs livré avec deux gros boutons programmables et un petit joystick qui montre bien la proximité de ce clavier Commodore 64 avec son pendant déjà disponible, la version NES. Mini Machines l’explique bien : la marque a recyclé un clavier mécanique de sa gamme en modifiant les couleurs pour qu’il ressemble (un peu) au Commodore 64 en faisant vibrer la fibre nostalgique de certains. Deux gros boutons programmables et un joystick. La version Commodore 64 est en précommande aux États-Unis pour 110 $, mais elle risque d’avoir probablement le même défaut que la version NES disponible dans nos contrées : un agencement QWERTY américain. Mais il demeure possible d’intervertir les touches facilement et de reprogrammer le tout…
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La précision de l’app Localiser et son utilisation par des policiers lors d’une intervention musclée sont au cœur d’une plainte déposée contre des services de police dans le Missouri aux États-Unis. C’est un vol de véhicule qui est à l’origine du fait divers. Dans une ville voisine de Ferguson dans le Missouri, le conducteur et le passager d’une voiture en furent expulsés par un groupe d’individus dont l’un prit la fuite avec le véhicule. L’une des victimes indiqua aux policiers que ses AirPods étaient restés dans la voiture et qu’il pouvait les suivre avec Localiser. Le boitier fût repéré quelques kilomètres plus loin dans une zone résidentielle. Une image de la caméra du domicile perquisitionné. Il s’en est suivi une intervention musclée des forces de police qui redoutaient également la présence d’armes à feu sur les lieux. Une unité du SWAT (Special Weapons And Tactics) a défoncé la porte de la maison indiquée dans l’app, fouillé les lieux sans ménagement devant des parents médusés et de très jeunes enfants effrayés. Comme une redite d’une précédente affaire assez similaire (lire aussi Un policier américain ne comprenant rien au réseau Localiser envoie une équipe du SWAT chez une personne âgée). Une perquisition en pure perte puisque le boitier d’AirPods fut bien retrouvé… mais sur la chaussée, près de la maison. Les AirPods avaient probablement été jetés depuis la voiture par son voleur. L’un des enfants de la famille a déclaré ensuite avoir vu passer en trombe devant chez eux une Dodge ressemblant à celle recherchée. La voiture fut retrouvée plus tard, accidentée, à quelques kilomètres. Pour les autres appareils enregistrés dans Localiser, leur repérage est assez précis dans cet exemple. Mais s’il n’y avait que les AirPods d’affichés, difficile de savoir où envoyer le RAID… La famille victime de cette descente des SWAT a porté plainte contre les services de police municipaux, estimant que l’app avec laquelle les policiers avaient tenté de repérer la position de la voiture n’est pas suffisamment précise et qu’il a été fait un usage disproportionné de la force. Apparemment une simple observation de la maison et de ses occupants aurait pu suffire à semer le doute sur leur lien avec le carjacking. Il n’est pas indiqué dans la plainte si le juge qui a autorisé la perquisition était informé de la manière dont les policiers avaient obtenu l’adresse de la maison. Comment le réseau Localiser a pu aider la police à retrouver un iPhone volé
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Après des années d’ignorance, Apple a finalement cédé et annoncé que le RCS arriverait en 2024 sur iOS. Ce gros changement a été révélé sans tambour ni trompette via un très bref communiqué envoyé à un site spécialisé. Si Apple ne fait pas grand bruit de cette nouveauté, Google est logiquement beaucoup plus enthousiaste : une nouvelle page du site Android a indiqué pendant quelques instants que la prise en charge du RCS sur iPhone arrivera « à l’automne 2024 ». C’est la première fois que l’on a une fenêtre de sortie officielle pour le déploiement de cette fonction. Capture d’écran du site d’Android. L’information n’est pas restée en ligne très longtemps. Un coup de balai a été passé peu de temps après sur la page, mais on retrouve tout de même une trace de cette affirmation en passant par la Wayback Machine. Une sortie à l’automne signifie qu’il faudra attendre iOS 18 avant de voir arriver le RCS sur iOS. On ne sait pas si le changement sera disponible dès la V1, ou dans une éventuelle mise à jour ultérieure publiée dans les derniers mois de l’année. Le RCS est en quelque sorte le successeur du SMS. Il permet de dépasser les 160 caractères, mais aussi d’envoyer photos et vidéos sans tout compresser. Les conversations de groupe sont également prises en charge, et un indicateur montre lorsqu’un correspondant est en train d’écrire. Google exulte : Apple va finalement adopter RCS, le « SMS 2.0 », en 2024 L’arrivée du RCS va chambouler le quotidien des utilisateurs d’iPhone, qui avaient bon gré mal gré pris l’habitude de cette barrière avec les téléphones Android. Une distinction sera toujours faite : les messages RCS resteront verts, tandis que les iMessages conserveront leur teinte bleue. La solution d’Apple gardera l’avantage d’être chiffrée de bout en bout.
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iOS, iPadOS… et maintenant visionOS. Avec son casque Vision Pro, Apple ouvre une nouvelle plateforme de développement pour les concepteurs d’apps avec des concepts inédits rassemblés sous la bannière de « L’informatique spatiale ». Images : Apple. Maxime Britto le fondateur de Purple Giraffe, dont le catalogue de formations et de cours pour apprendre le développement était déjà bien fourni, en a ajouté de nouveaux consacrés à visionOS. C’est l’occasion de prendre ses repères avant le lancement du casque en France ou tout bonnement de se mettre au développement sur iOS/iPadOS en prévision d’aller voir ensuite sur visionOS. Ces cours pour visionOS sont animés par Florent Morin, un développeur familier de notre site et de nos podcasts, qui a ajouté cette corde à son arc sitôt qu’Apple a commencé à communiquer sur ce nouveau système d’exploitation. Purple Giraffe propose, jusqu’au 2 avril, une semaine d’accès gratuit à ses deux formules mensuelle (sans engagement) et annuelle. Tous les précédents cours (Swift, SwiftUI, Flutter, etc.) et les derniers mis en ligne pour visionOS sont accessibles sans limites durant cette période. Cela permettra de se faire une idée précise de leur contenu avant de continuer sur l’une des deux formules payantes : 24 €/mois ou 239 €/an.
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La Fnac a une offre ciblée sur certains des précédents MacBook Air M1 et M2. À ces machines qui profitent déjà de réductions face aux prix de l’Apple Store, l’enseigne ajoute un chèque cadeau d’une valeur de 50 € sur le compte de ses adhérents Fnac+. L’offre n’étant proposée qu’en ligne, certains coloris sont déjà épuisés. L’opération, qui n’a pas de date de fin, s’applique au MacBook Air M1 8/256 Go vendu 939 € (argent, gris sidéral) ainsi qu’au MacBook Air M2 de 15" en 8/256 Go (lumière stellaire). D’autres configurations du MacBook Air M1, avec plus de RAM ou plus de SSD, sont éligibles mais leur prix (1 099 €) équivaut à celui du MacBook Air M2 qu’on trouve partout en promotion à (1 089/1 099 €). Retest du MacBook Air M1 : la magie est intacte
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Vous vous souvenez de l’application Journal ? En tout cas, Andrew Aude, lui, risque de s’en souvenir : il a été licencié par Apple à cause d’elle. Cet (ex) employé de la firme a visiblement en effet fourni de nombreuses informations confidentielles à des journalistes pendant des années… notamment au sujet de l’application Journal. Il a rejoint Apple en 2016, comme l’explique MacRumors, et a commencé à travailler sur les optimisations liées à la batterie, ce qui lui a permis d’avoir accès à de nombreux projets sensibles. Et pendant cinq ans, il a en profité pour fournir des informations à la presse sur différents sujets, dont l’application Journal, mais aussi le casque Vision Pro et bien d’autres projets. La source de cette actualité sur l’application d’Apple, ce serait lui, selon nos confrères. Quelques messages avec Homeboy, un journaliste. La capture provient de la plainte d’Apple. Visiblement, Aude était assez prolifique : les pièces du procès intenté par Apple montrent qu’il a envoyé plus de 1 400 messages à un journaliste dans un cas, plus de 10 000 dans un autre. Apple a découvert ses manigances en novembre 2023 et — nous ne sommes pas dans un film — il aurait profité d’une pause aux toilettes pour tenter d’effacer les preuves de ses méfaits de son iPhone de travail, tout en niant évidemment avoir partagé des informations confidentielles. Il aurait ensuite admis avoir envoyé des informations confidentielles en décembre 2023 et a été licencié dans la foulée. Selon Apple, l’action en justice a été lancée notamment parce que Andrew Aude a refusé de coopérer. La plainte d’Apple est disponible en ligne et montre que le culte du secret reste la norme chez Apple, pour surprendre l’auditoire des keynotes. La plainte ne donne pas le montant exact des dommages et intérêts qui pourraient être demandés à l’ex-employé d’Apple (qui a par ailleurs refusé de rendre les actions reçues dans le cadre de son travail) mais la somme pourrait dépasser les 25 000 $ si le jury suit les demandes d’Apple.
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Dans la version de test de Safari, Safari Technology Preview, Apple a annoncé un petit changement avec la technologie WebCodecs : la prise en charge de l’AV1. Comme avec les autres rouages du système, elle n’est pas complète : elle n’est présente que sur les Mac qui peuvent décoder l’AV1 matériellement, c’est-à-dire les Mac à base de puce M31. L’AV1 n’est pas pris en charge avec Safari 17.4. La technologie WebCodecs du W3C est une API qui permet de travailler sur des flux vidéo à un niveau assez bas, avec la possibilité d’accéder aux images décodées facilement. C’est une technologie très utile pour certains outils de vidéoconférence ou même pour proposer des outils d’édition dans une page Web. Apple prend en charge WebCodecs depuis Safari 16.4, et cette page de test montre que les codecs H.264, H.265, VP8 et VP9 sont de la partie, mais pas l’AV1. La présence de la prise en charge de l’AV1 dans Safari Technology Preview 191 montre qu’Apple travaille sur le sujet, et la prochaine version mineure (17.5) ou majeure (18) devrait donc probablement proposer la fonction. Apple n’intègre pas de décodeur logiciel pour l’AV1 et c’est toujours un problème D’un point de vue purement technique, quelques Mac Pro Intel décodent l’AV1 mais Apple ne le prend pas en charge.  ↩︎
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